Mesurer la culture de sécurité au sein de votre établissement de santé !
La FORAP et la HAS organisent une campagne nationale pour vous permettre de mesurer la culture de sécurité au sein de votre établissement de santé !
Envie d’en savoir plus sur la culture de sécurité de soins, sa mesure et ses impacts ?
Participez au webinaire de lancement de la campagne qui se déroulera en direct sur la chaîne YouTube de la Forap et en collaboration avec la Haute Autorité de Santé :
Webinaire HAS du 21/03/2023 :
Webinaire PASQUAL présentation et déploiement de la campagne en région
Webinaire PASQUAL 23/03/2023
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La FORAP s’associe à la HAS pour proposer en 2023 une campagne nationale de mesure de la culture de sécurité des soins auprès des établissements de santé. Cette campagne sera pilotée dans chacune des régions par les Structures régionales d’appui (SRA), et sera lancée dans les prochaines semaines.
Développer et pérenniser une culture commune devient incontournable. Mais avant de mettre en place des actions en ce sens, il faut apprécier son niveau. C’est l’objet de cette campagne, qui se déroulera du 1er mai au 30 juin 2023 et sera réalisée avec une méthode d’évaluation, traduite, testée et validée par le Comité de coordination de l’évaluation clinique et de la qualité en Nouvelle-Aquitaine (CCECQA, SRA Nouvelle Aquitaine).
Mesurer la culture de sécurité pour accompagner les équipes !
La culture de sécurité des soins se définit comme des manières de penser et d’agir partagées au sein d’une équipe, d’un établissement. Il existe un lien fort entre les ressentis des professionnels et le comportement de sécurité qu’ils adoptent (adhésion à la démarche d’amélioration, capacité à signaler les événements indésirables, respect des bonnes pratiques…).
L’instauration d’une culture de sécurité des soins est une condition indispensable à l’implémentation réussie des outils d’amélioration de la qualité de la sécurité des soins. Par exemple, bien que l’efficacité de la check-list au bloc opératoire ait été scientifiquement démontrée, son utilisation reste hétérogène notamment par manque de culture partagée. La dernière étude nationale sur les événements indésirables liés aux soins (ENEIS 3) et l’analyse annuelle des événements indésirables associés aux soins (EIGS) mettent d’ailleurs en évidence cet aspect.